Les bases de l’éducation canine
Comment les chiens apprennent-ils?
Les chiens, comme d’ailleurs la plupart des animaux, apprennent principalement par le biais de l’apprentissage associatif (c’est-à-dire le conditionnement classique et opérant), qui peut être une combinaison d’observations, d’associations et d’expériences au fil du temps ou de la vie (voir ci-dessous pour plus de détails). Cela les aide à mieux anticiper, à prendre des décisions appropriées sur les événements à venir et à s’adapter de manière adéquate aux changements de circonstances et/ou d’environnement. Afin de pouvoir entraîner efficacement les chiens et garantir une cohabitation harmonieuse avec eux dans un environnement dominé par l’homme, il est essentiel de comprendre comment les chiens apprennent.
Quelle que soit la méthode utilisée pour éduquer un chien, la récompense doit être au premier plan et la décision de participer doit, si possible, être laissée au chien. Offrir à votre chien une récompense qu’il aime vraiment - qu’il s’agisse de friandises, de jouets, d’affection ou de félicitations - lorsqu’il adopte un comportement souhaité augmente la probabilité qu’il adopte ce comportement plus souvent.
Tout comme les humains, les chiens sont des êtres opportunistes qui recherchent constamment le meilleur résultat et le meilleur état possible. Par conséquent, plus le chien est motivé pour obtenir une certaine récompense, plus il sera facile de lui enseigner les comportements souhaités et de créer un environnement d’apprentissage positif. Il est donc important de déterminer ce que votre chien aime vraiment faire et connaître ses préférences ou ses récompenses favorites.
Principes de base de l'apprentissage des chiens
A) Apprentissage non associatif
- Accoutumance, désensibilisation et contre-conditionnement: il s’agit de techniques d’application qui permettent de modifier la réaction d’un chien à un stimulus donné.
- L’accoutumance est la forme la plus simple des trois et signifie habituer progressivement, au fil du temps, à la présence de stimuli constamment répétés. Ainsi, la réaction, généralement violente au départ, diminue avec le temps. Ce processus aide à distinguer les stimuli importants, potentiellement dangereux, des stimuli plutôt insignifiants. La réaction peut toutefois redevenir plus intense si les stimuli n’ont pas été présents pendant un certain temps (récupération spontanée) ou si un autre stimulus intéressant survient, ce que l’on appelle une déshabituation.
- La désensibilisation consiste à augmenter progressivement la confrontation à un stimulus, en commençant par un niveau d’intensité faible, afin de réduire la réaction du chien au fil du temps. Attention: dans le cas de la sensibilisation, c’est exactement le contraire qui se produit et la réaction au même stimulus devient de plus en plus forte, par exemple en cas de surstimulation permanente (ce que l’on appelle le flooding).
- Dans le cas du contre-conditionnement, le stimulus est associé à quelque chose de positif et nécessite une récompense constante et immédiate chaque fois que le stimulus spécifique se produit.
B) Apprentissage associatif
- Conditionnement classique: ce type d’apprentissage consiste à établir des associations entre différents stimuli. Dans la célèbre expérience d’Ivan Pavlov de 1905, les chiens ont appris à associer le son d’une cloche (stimulus neutre) à l’apparition de nourriture (stimulus inconditionnel). Après de nombreuses répétitions et au fil du temps, le seul son de la cloche suffisait à provoquer une réaction de salivation (sans présence de nourriture). Dans le dressage des chiens, ce type de conditionnement est souvent utilisé pour associer des expériences positives à certains indices ou signaux. Dans ce type d’apprentissage, il s’agit de relations spécifiques stimulus-réponse qui provoquent des émotions et les impliquent donc toujours. C’est pourquoi cela se produit constamment et ne peut pas être évité. Les chiens apprennent en principe toujours, forment des associations et stockent ces expériences/souvenirs qui ont ensuite une grande influence sur les événements ou situations à venir.
- Conditionnement opérant: il s’agit d’une forme d’apprentissage dans laquelle l’apparition de comportements (futurs) est influencée par leur effet et les conséquences qui en découlent. B.F. Skinner et E.L. Thorndike ont introduit ce concept, basé sur le principe de l’apprentissage «par essai / erreur», qui constitue un autre aspect clé de l’éducation canine. Il existe quatre possibilités différentes de conséquences comportementales, appelées quadrants du conditionnement opérant:
- Renforcement positif: ajouter quelque chose d’agréable pour augmenter la probabilité qu’un comportement se reproduise. Par exemple, donnez une friandise à votre chien s’il s’assoit après le signal correspondant «Assis» (émotion provoquée: plaisir).
- Renforcement négatif: supprimer quelque chose de désagréable afin d’augmenter la probabilité qu’un comportement se reproduise. Par exemple, augmenter la distance par rapport à un facteur de stress ou le supprimer, par exemple un autre chien qui passe, si le premier chien reste calme pendant l’entraînement (émotion provoquée: soulagement).
- Punition positive: ajouter quelque chose de désagréable pour réduire la probabilité qu’un comportement se reproduise. Par exemple, si vous criez «Non!» ou si vous utilisez toute forme de violence (par exemple physique) contre votre chien ou des méthodes/appareils de dressage aversifs, par exemple si votre chien saute sur les gens pour les saluer (émotion provoquée: peur).
- Punition négative: supprimer quelque chose d’agréable pour réduire la probabilité qu’un comportement se reproduise. Par exemple, retirez brièvement l’attention de votre chien ou enlevez-lui son jouet s’il vous mord en jouant (émotions suscitées: frustration ou colère).
Dans ce contexte, les termes «positif» et «négatif» doivent être considérés dans un sens mathématique, qui signifie que quelque chose est ajouté (c’est-à-dire positif: R+, P+) et quelque chose est retiré (c’est-à-dire négatif: R-, P-). Dans ce cas, R et P signifient en anglais Reinforcement (renforcement) et Punishment (punition).
C) Apprentissage perceptif et complexe
Ce type d’apprentissage est un processus qui va au-delà de l’apprentissage des relations et des conséquences du comportement affiché. Il requiert la capacité de penser de manière abstraite et de résoudre des problèmes (de manière hypothétique et mentale) afin de comprendre les liens de cause à effet et de se comporter et de réagir en conséquence.
- Apprentissage par observation et imitation: les chiens peuvent également apprendre en observant d’autres chiens ou même des humains. Il s’agit d’une forme d’apprentissage social dans laquelle les comportements sont acquis par l’observation et l’imitation des autres. L’approche d’entraînement Do-as-I-do (de l’anglais fais comme moi) consiste par exemple à montrer au chien certains comportements qu’il imite ensuite. Cette méthode d’entraînement est par exemple parfaitement adaptée aux tâches telles que l’entraînement de chiens d’assistance et les tâches de routine quotidiennes telles que l’ouverture de portes ou l’utilisation de la machine à laver. Bien entendu, les tâches doivent rester dans les limites des capacités physiques du chien. Il est important de noter qu’il existe des recherches en cours sur la cognition canine menées par différents groupes de recherche dans le monde, notamment le Clever Dog Lab de Vienne, en Autriche, qui visent à déterminer dans quelle mesure les chiens peuvent comprendre les relations de cause à effet et imiter des comportements non pertinents, à l’instar des enfants.
Comment dresser les chiens avec succès?
Consistance et timing
L’un des facteurs les plus importants dans le dressage des chiens est la consistance. Les chiens apprennent mieux lorsqu’ils reçoivent des signaux clairs et constants (c’est-à-dire des signes visuels et auditifs), des récompenses et des conséquences positives, en particulier après avoir montré des comportements corrects. Le timing est également essentiel; les récompenses doivent être données ou intervenir immédiatement après l’apparition du comportement souhaité. Il est important de renforcer le comportement correct avant que le chien ne commence à manifester des comportements différents ou indésirables. Dans ce cas, il est également utile d’entraîner des comportements alternatifs qui remplacent le comportement indésirable ou qui sont incompatibles avec lui. Par exemple, apprendre à un chien à s’asseoir lorsqu’il salue des personnes au lieu de leur sauter dessus.
Répétitions, pratique et généralisation
Comme les humains, les chiens profitent de la répétition et de l’entraînement régulier. Le renforcement systématique des comportements souhaités contribue à les consolider au fil du temps. Un autre aspect important est la généralisation; tous les comportements et exercices entraînés doivent être pratiqués de manière répétée dans différents environnements et circonstances afin de s’assurer qu’ils peuvent être exécutés de manière fiable à tout moment par la suite. Il est donc utile de commencer à entraîner de nouveaux comportements dans des environnements peu stimulants, puis d’augmenter progressivement le niveau de distraction et de modifier l’environnement.
Motivation et engagement
Les chiens apprennent plus vite lorsqu’ils sont très motivés et engagés et lorsque les exercices sont divisés en petites étapes réalisables afin d’éviter la frustration ou la surcharge mentale. Identifier les récompenses, les jeux ou les activités que votre chien apprécie le plus peut considérablement améliorer le processus et la réussite de l’entraînement. Si vous faites en sorte que l’entraînement du chien soit agréable et facile pour les deux parties, il sera plus ludique et plus efficace.
N’oubliez pas que chaque chien est unique et qu’il apprend à son propre rythme. En outre, les différences de races peuvent avoir un impact sur les préférences et les capacités d’apprentissage d’un chien, sur la base de différents facteurs de sélection spécifiques à la race, tels que la tendance à la coopération, à la collaboration ou à l’indépendance, les capacités physiques, etc.
En règle générale, le renforcement positif et les méthodes de dressage de chiens basées sur la prise de décision sont recommandés, car ils créent une expérience d’apprentissage agréable et contribuent à la création d’un lien fort entre le chien et son maître.
QUATRE PATTES
QUATRE PATTES rejette toutes les formes de méthodes ou d’appareils de dressage de chiens aversifs qui provoquent de la peur, du stress, de la douleur ou de la souffrance, car ils ont un effet négatif sur la relation entre le chien et l’homme. En outre, des expériences négatives répétées dans le dressage des chiens et dans la vie quotidienne peuvent conduire les chiens à des états connus sous le nom d’impuissance apprise ou de dépression.
Si vous êtes nouveau dans le dressage de chiens ou si vous avez des questions à ce sujet, vous pouvez envisager de demander conseil à un dresseur professionnel afin de trouver la bonne façon de commencer.
Quelques recommandations de signaux de base et d'exercices utiles
Assis
L’un des premiers exercices de dressage consiste à apprendre à votre chien à s’asseoir. Pour commencer, tenez simplement une friandise au-dessus du nez de votre chien et déplacez-la lentement vers l’arrière de sa tête/son dos. Lorsque le chien suit le mouvement de la friandise et s’assoit, donnez-lui la friandise. Répétez cet exercice plusieurs fois afin de faire comprendre au chien qu’il recevra la friandise lorsque ses fesses toucheront le sol. Lorsque votre compagnon à quatre pattes sait avec certitude comment exécuter le comportement souhaité, vous pouvez commencer à établir un signe de la main spécifique, par exemple l’index levé ou un signe auditif tel que «assis». D’un point de vue éthique et théorique, il est important que vous ne manipuliez pas physiquement votre chien de quelque manière que ce soit, par exemple en poussant ses fesses vers le sol. Comment vous sentiriez-vous si quelqu’un vous poussait ou vous pressait sur une chaise pour que vous vous asseyiez? Essayez toujours d’éduquer votre chien en douceur, de manière compréhensible et juste.
Viens ici/Rappel
Le rappel est l’un des exercices les plus importants et doit être régulièrement valorisé et récompensé. Cela permet de s’assurer que votre chien revient chaque fois qu’on l’appelle. Dans un premier temps, le plus simple est de rappeler votre chien chaque fois que vous préparez sa nourriture, afin d’en faire la récompense principale et de qualité. Commencez l’entraînement comme d’habitude dans un environnement peu distrayant, par exemple en appelant votre chien à la maison à une certaine distance et en le félicitant et le récompensant généreusement de venir vers vous.
Lorsque vous commencez à entraîner votre ami à quatre pattes à l’extérieur, attachez une laisse non extensible (d’au moins deux mètres de long) à votre chien en position «assis» et fixez-la à votre hanche afin de garder les mains libres. Ensuite, invitez gentiment votre chien à venir vers vous en disant «viens» ou «ici» et, si vous le souhaitez, appelez votre compagnon à quatre pattes par son nom d’une voix joyeusement excitée, joyeuse et plutôt aiguë.
Lorsque le chien vient vers vous, félicitez-le vivement et donnez-lui une friandise qu’il apprécie. Si le rappel fonctionne très bien après plusieurs répétitions (au fil du temps) et que vous souhaitez que votre chien s’assoie devant vous, récompensez-le d’abord pour être venu vers vous, puis demandez-lui de s’asseoir et donnez-lui une deuxième friandise.
Si vous respectez systématiquement cet ordre, votre ami à quatre pattes s’assoira automatiquement lorsqu’il vous atteindra, ce qui vous permettra de le récompenser pour les deux comportements en même temps.
Au pied
Positionnez votre chien, laisse en main, à hauteur de genou sur votre gauche. Commencez à partir avec le pied gauche en premier, tout en appelant votre chien par son nom et en lui donnant le signal «au pied». Donnez des friandises et un renforcement positif lorsque le chien marche correctement. Si le chien a d’abord du mal à comprendre le concept, rappelez-le et, si nécessaire, tirez doucement sur la laisse pour le remettre dans la bonne position, puis recommencez l’exercice. Pour simplifier l’exercice pour le chien, vous pouvez également utiliser l’entraînement par objectifs. Par exemple, demandez au chien de regarder votre main (c’est-à-dire votre cible) au-dessus de sa tête pendant qu’il marche à côté de vous. Pour le dos de l’homme comme pour celui du chien, il est préférable que le chien apprenne à «marcher au pied» des deux côtés. Dans les concours, les examens, etc., on demande généralement aux chiens de marcher sur le côté gauche de son maître.
Place et repos
Commencez à entraîner votre chien à l’exercice «place» en position assise ou couchée. Placez-vous devant votre chien, dites «place» et, si vous le souhaitez, ajoutez son nom. Au début, ne bougez pas, maintenez le contact visuel et laissez le chien dans la position «place/attendre» pendant environ 10 secondes. Si vous utilisez le clicker comme outil de dressage, cliquez ensuite pour marquer le comportement correct ou faites-le partir en disant «OK» ou «libre» et récompensez votre chien avec une friandise, par exemple. Répétez ensuite le même exercice en augmentant progressivement le temps passé dans la même position jusqu’à 1 minute.
Une fois que le chien a appris ce que signifie le signal «place» et qu’il reste immobile jusqu’à la fin de l’exercice (ou de l’étape d’entraînement) en question, vous pouvez, pendant l’exercice, augmenter lentement la distance qui vous sépare de votre chien et le laisser rester plus longtemps, toujours plus loin de vous. Récompensez le chien à chaque fois qu’il adopte le comportement correct/voulu afin de maintenir la motivation.
Il est important, surtout au cours de la première année, d’apprendre à votre chien à se reposer suffisamment entre les séances d’entraînement, les activités quotidiennes, etc. Oui, c’est une bonne chose de solliciter votre chien mentalement et physiquement, mais il a également besoin de temps pour se reposer et assimiler les expériences qu’il a apprises. N’oubliez pas que les chiens ont besoin de dormir 16 à 18 heures par jour - les jeunes et les vieux chiens encore plus.
En outre, ils doivent apprendre qu’il y a des moments précis au cours de la journée où le maître n’est pas disponible ou ne peut pas les «divertir» ou s’occuper d’eux. Ici aussi, le contrôle des impulsions et la tolérance à la frustration jouent un rôle. Par petites étapes et au fil du temps, les chiens peuvent apprendre que l’attention humaine ou les ressources attrayantes ne sont parfois pas immédiatement disponibles ou sont données avec un certain retard.
Marche en laisse détendue
Bien entendu, le monde extérieur est très excitant pour les chiens, par exemple de nombreux endroits intéressants à renifler, des amis chiens à rencontrer, des gens qui se promènent, etc. Il est donc utile d’apprendre à votre chien à marcher en laisse détendue plutôt que de le laisser vous entraîner vers les endroits attrayants où il souhaite se rendre. Essayez de renforcer et de récompenser votre chien lorsque la laisse est détendue avant qu’il ne commence à tirer dessus.
Vous pouvez également définir un signal vocal tel que «doucement». Là encore, il est important que vous disiez le signal avant que le chien ne tire sur la laisse et que vous renforciez ainsi au préalable le comportement adéquat. Au lieu de tirer vous-même sur la laisse pour rapprocher votre chien de vous, invitez-le à venir vers vous et encouragez-le à marcher à côté de vous en laisse détendue. Répétez cet exercice plusieurs fois, mais laissez de temps en temps le chien marcher et renifler en laisse longue, etc. pour que l’exercice soit également amusant pour lui. Pour le chien, il peut être frustrant de marcher constamment aussi lentement que nous le faisons, nous les humains.
En général, QUATRE PATTES recommande l’utilisation d’un harnais de poitrail plutôt que d’un collier, car cela est plus sain pour le chien, la pression de la laisse tendue n’agissant pas de manière aussi ponctuelle sur le cou du chien. Il est préférable d’utiliser un collier large une fois que le chien a appris à marcher avec une laisse détendue.
Visites chez le vétérinaire
Comme vous devez vous rendre régulièrement chez le vétérinaire pour vous assurer que votre chien reste en bonne santé, il est utile de créer une association positive et une expérience d’apprentissage avec votre vétérinaire, l’équipe et le cabinet/la clinique vétérinaire. Rendez-vous donc chez votre vétérinaire dès que possible et faites en sorte que ce soit une expérience amusante pour votre chien, par exemple en prenant rendez-vous et en passant par la salle d’attente, en rencontrant le vétérinaire qui donne quelques friandises au chien, puis en repartant.
Répétez cet exercice plusieurs fois avant d’avoir un vrai rendez-vous chez le vétérinaire, qui peut impliquer des traitements désagréables tels que des vaccins ou des interventions. Un autre conseil utile ici est de commencer le plus tôt possible ce que l’on appelle l’entraînement médical préparatoire (en anglais medical training) avec votre chien. Mais essayez de ne pas surcharger votre chien avec de nouveaux exercices, environnements, personnes, etc.
Important, étape par étape et à petites doses.
Conseils pour le dressage de chiens en deplacement
- «Baby Steps» (étapes de bébé, c’est-à-dire diviser la tâche d’entraînement en petites étapes réalisables)
- Atmosphère d’apprentissage positive (rester calme, amical et motivant; éviter la frustration)
- Critères d’entraînement (ne compliquer qu’un seul critère à la fois)
- Soyez patient (laissez au chien le temps d’assimiler le signal donné et d’y répondre).
- Un pas en arrière (si un critère d’entraînement est trop difficile, faites un pas en arrière et rendez-le faisable)
- Récompense (utiliser des récompenses appropriées pour le chien et en fonction de l’exercice)
- Choix (assurez-vous que le chien a toujours un choix auquel il participe volontairement)
- Soyez prévisible (restez juste et évitez les déceptions/frustrations)
- Motivation (maintenir la motivation et le niveau de performance)
- Renforcement variable (réduisez les incitations)
- Rituels (des rituels fixes de début et de fin d’entraînement permettent de la concentration et donnent un sentiment de sécurité)
- Signaux de stress (veillez à lire correctement le langage corporel de votre chien afin d’éviter l’épuisement, le surmenage, etc.)
- Durée de l’entraînement (il est préférable d’effectuer de nombreuses séances courtes par jour plutôt que quelques séances trop longues)
- Fin de la séance d’entraînement (toujours s’arrêter au meilleur point de performance)
- Plaisir (l’entraînement du chien doit être un plaisir pour les deux parties)
N’oubliez pas que vous obtenez toujours les comportements de votre chien, ou ceux qu’il vous montre, que vous renforcez (consciemment ou inconsciemment).